Bonjour à toutes et à tous !
Dernier petit billet de Contrexéville, car toute bonne chose a une fin : nous quitterons le Cosmos Hôtel demain, après le déjeuner, pour regagner Dijon, avec plein de bons souvenirs et l’objectif de revenir l’année prochaine.
Malgré la nostalgie qui s’installe déjà, je pense qu’il est temps, finalement, de rentrer, car contrairement aux curistes, j’ai certainement pris du poids à tester le menu gourmand (entrée, plat, dessert) du restaurant de l’hôtel, le Cosmopolitain, chaque soir. Cela change des plats light, à la plancha, qu’on se fait à la maison : je crains le verdict de la balance demain !…
Ce soir, nous ferons un tour au casino, histoire de miser quelques pièces dans les bandits manchots à 5 cents. C’est un petit rituel que nous avons ici. Notre sortie « mini Las Vegas ».
Pour l’occasion, j’ai prévu un vernis qui brille de mille feux. J’ai acheté récemment un vernis Glitter de Pupa chez Di-Va à Quetigny : un bleu turquoise n°825, aux paillettes argentées. Sur le nuancier, il était hyper scintillant, et au toucher, un petit effet sand (6,49 € chez Di-Va).
La pose a été un peu plus compliquée que d’habitude, certainement compte tenu de sa texture très pailletée. Peut-être qu’une aquabase est nécessaire, comme pour les vernis holographiques ? Je réessaierai avec l’autre couleur que j’ai achetée dans la même gamme (l’argent n°817).
Pour une bonne opacité et une répartition uniforme des paillettes, deux couches minimum sont nécessaires. Le vernis tient toutes ses promesses : couleur turquoise qui accroche la lumière et la renvoie de toutes ses petites facettes. Petit effet sand au toucher sur les ongles.
Avec le départ du soleil de Contrexéville, les photographies sont prises à la lumière artificielle. Cela ne rend pas forcément aussi bien qu’en réalité :
Il s’agit d’une collection édition limitée 2012. Si j’arrive à trouver le rose n°819, je serais hyper contente : il n’était plus dans le présentoir chez Di-Va. Il va falloir que je me mette en quête…